Et ce fut encore une attaque géniale de la part du Larméléon amoureux ! Le Moumouton ne put absolument rien faire, et il se reçut les éclats de glace sans avoir eu le temps de les esquiver… Il poussa donc un petit cri de surprise, puis partit en courant loin du Lézard’Eau et de sa dresseuse. De son côté, Marin leva les bras en l’air et montra sa joie de manière peut-être un peu exagéré, comme s’il venait de gagner un combat face à un adversaire. Se rappelant alors ce qu’il s’était passé avec Gaspar lors de leur visite de l’œil de Lathéa, Naïa se mit à rire et, se prêtant à son tour au jeu, attrapa son Pokémon pour le soulever au dessus de sa tête, souriant et poussant même des cris de joie eux aussi exagérés. La scène pouvait être étrange à voir de l’extérieur, mais, aux yeux de la pompière, c’était quelque chose de magnifique, et elle s‘amusait comme une folle !

« Parfait Marin, tu l’as eu ! Allez, il lui reste quelques Pokémons encore, au suivant ! »

Le reposant au sol, comme pour le laisser se concentrer sur son prochain combat, Naïa observa son Larméléon se mettre à courir devant elle, cherchant probablement son nouvel adversaire… Et, elle en était certaine, pour lui aussi, il allait faire comme si c’était le Pokémon d’un autre dresseur que Naïa aurait défié en combat, et à qui il ne resterait qu’un ou deux compagnons à mettre KO…

« C’est pas grave mon grand, tu es peut-être faible face à lui, mais tu peux l’avoir ! Je crois en toi ! Évites simplement de lui lancer un Vibraqua ! »

Pourquoi Naïa donnait-elle ce genre de conseils à Marin ? Tout simplement parce que, alors qu’il courait tranquillement dans la Lande, il était tombé sur un petit Marisson non loin, s’amusant tranquillement sans faire attention à ce qu’il se passait autour de lui. Et, souhaitant continuer à jouer le jeu du combat face à un dresseur, le Larméléon avait souhaité l’affronter. Or, vous n’êtes pas sans savoir que Marisson était un Pokémon de type plante, type contre lequel le type Eau de Marin était faible… Il était donc évident que ce ne serait pas aussi facile que contre les autres Pokémons qu’ils avaient croisés… Du moins sur le papier…

Mais, une chose que la Nausicaa avait oublié, c’était que son cher petit Larméléon adoré possédait une attaque Glace, type super-efficace contre les plantes… Mais Marin, lui, ne l’avait pas oublié ! C’est donc tout naturellement que ce fut cette attaque-ci qu’il lança au pauvre Marisson, en espérant bien évidemment l’atteindre et le vaincre pour continuer à jouer… S’il le battait, il ne resterait plus qu’un seul Pokémon au faux dresseur que le Lézard’Eau s’imaginait affronter, et ceci, s’était un excellent point !

Pourtant, même s’il semblait ne pas être attentif à ce qu’il se passait autour de lui, le Marisson esquiva sans mal l’attaque de Marin. Ayant peut-être remarqué un mouvement non loin de lui, ou étant simplement extrêmement vif, il effectua un saut sur le côté et l’attaque Éclats Glace du Larméléon passa à seulement quelques centimètres de lui, sans pour autant le toucher. Mais ce n’est pas cela qui allait décourager le Pokémon Eau, loin de là ! Empêchant son adversaire de fuir, il lui lança une nouvelle attaque, prêt à tout pour l’atteindre et gagner de l’expérience…

« Allez Marin, c’est ça ! Ne le laisses pas respirer, attaques le jusqu’à ce que tu l’atteignes ! »

Naïa, de son côté, n’était pas non plus découragée, et encourageait son compagnon à donner le meilleur de lui même ! Jouant elle aussi le jeu, elle faisait comme si vaincre le Marisson était essentiel pour vaincre le dresseur imaginaire, et était donc prête à tout pour que Marin réussisse à l’affaiblir. Même si, en réalité, la pompière pensait également à Eden, et à l’expérience que son Larméléon pouvait engranger pour impressionner sa belle. Mais le résultat était de toute façon le même, et que ce soit pour une raison ou pour l’autre, il fallait l’encourager à donner le meilleur de lui même…

Les encouragements de Naïa semblèrent porter leurs fruits puisque, cette fois-ci, l’attaque atteignit effectivement le Marisson sauvage – qui n’avait rien demandé, mais bon… – et Marin put de nouveau laisser éclater sa joie. Une nouvelle fois, il put lever les bras en l’air et faire comme s’il avait vaincu le Pokémon d’un dresseur imaginaire. Dresseur qui, si l’on se fiait à ce qu’il avait imaginé quelques instants plus tôt, ne possédait plus qu’un seul compagnon en état de se battre… Ce qui expliquait donc la joie peut être un peu plus grande du Larméléon par rapport à celle qu’il avait eu en battant le Moumouton juste avant. Une joie que partageait bien évidemment la Nausicaa, observant la scène en souriant et se prêtant également au jeu en félicitant son Pokémon autant que possible…

« Ouaiiis ! Super, Marin ! Plus qu’un, et on l’aura battu ce satané dresseur ! Je compte sur toi, mon grand ! »

Poussé par les félicitations de sa maîtresse, fier de lui, le Larméléon se remit immédiatement à chercher un "dernier" adversaire dans la Lande, courant presque au hasard tandis que sa maîtresse veillait à ce qu’il ne s’éloigne pas trop, ni ne l’éloigne elle du chemin de chez elle. Après tout, même si camper lui rappellerait le temps où elle était dresseuse, Naïa n’avait pas envie de passer la nuit ici, elle préférait un bon lit douillet loin des insectes !

« Ne t’éloignes pas trop, s’il te plait, Marin… »

Ayant laissé la paisibilité des lieux l’envahir, Naïa avait fini par laisser son esprit dériver vers le temps où elle était dresseuse, et parcourait ainsi les routes avec son Larméléon et tout ses Pokémons – de type Eau, pour la plupart. Elle se remémora ainsi chacun de ses combats, chacune de ses rencontres, et se revit affronter les Champions de Galar en donnant le meilleur d’elle-même. Sauf que, pendant ce temps, elle ne surveillait pas Marin, qui s’éloignait de plus en plus d’elle… Et ce fut seulement lorsque le souvenir de ses éternels défaites face au Maître refit son apparition qu’elle reprit enfin contact avec la réalité, préférant éviter de laisser la déception l’envahir. Elle remarqua ainsi seulement à cet instant que le Pokémon Lézard’Eau était loin devant elle, et c’est après avoir couru pour le rattraper qu’elle avait prononcé les recommandations que je vous citais plus haut…

Mais Marin, lui, n’y prêtait qu’une oreille distraite. Il avait aperçut un Zigzaton de Galar non loin d’ici et, toujours plongé dans son "jeu", il avait décidé que ce serait lui le dernier Pokémon du dresseur imaginaire… C’est donc tout naturellement qu’il s’était mis à courir vers lui, oubliant presque la présence de sa dresseuse à lui, et lui avait fait face pour lui asséner une attaque, espérant ainsi gagner le combat imaginaire.

L’attaque ne fut pas extrêmement puissante, mais elle eut au moins le mérite de faire fuir le pauvre Zigzaton de Galar. Ce qui, aux yeux de Marin, était une victoire comme une autre. C’est donc tout naturellement qu’il célébra ceci en poussant quelques cris de joie et en sautillant sur place. Ce qui permit à Naïa d’enfin se retrouver à son niveau, pouvant ainsi de nouveau le surveiller. Mais pour l’instant, quelque peu épuisée, elle se contenta de s’asseoir par terre pour récupérer son souffle, jetant tout de même quelques regards à droite et à gauche pour vérifier qu’aucun insecte ne l’avait suivi. Ce qui ne l’empêcha bien évidemment pas de féliciter son petit Larméléon pour sa victoire… Mais ce fut peut-être un peu moins enthousiaste que précédemment, son manque de souffle l’empêchant de laisser pleinement ressortir la fierté qu’il lui faisait ressentir…

« Bravo mon grand, on l’a enfin eu ! Maintenant qu’on a battu ce dresseur imaginaire, on va pouvoir se reconcentrer sur ton entraînement ! Encore bravo à toi ! »

Mais avant de reprendre l’entraînement, comme Naïa venait de le suggérer, il allait peut-être falloir rester ici quelques minutes, le temps qu’elle soit moins épuisée. Parce que, après tout, elle avait quand même beaucoup couru pour éviter de perdre de vue son Marin adoré. Et, même si elle était plutôt sportive, courir autant et aussi vite n’était pas ce qu’il y avait de plus reposant… Au moins, s’il fallait trouver un autre point positif à tout ça, ça avait permit à la Nausicaa de digérer les sandwichs qu’elle avait mangé plus tôt…

C’est ainsi que, s’allongeant finalement dans l’herbe, Naïa ferma les yeux et, sans vraiment qu’elle ne le contrôle, laissa le sommeil l’envahir tandis que Marin jouait à côté d’elle. Que ce soit dû à la course qu’elle venait de faire pour rattraper le Larméléon ou à sa longue journée, toujours est-il que la jeune pompière s’endormit, un rêve plus qu’agréable prenant place dans son esprit. Dans ce rêve, un certain rockeur s’approchait lentement d’elle, un sourire aux lèvres, puis venait lui caresser le bras, avant de remonter lentement jusqu’à son épaule, la faisant frissonner. Puis, comme si c’était totalement naturel entre eux, le dit-rockeur lui attrapa la nuque pour approcher son visage du sien et déposer ses lèvres sur les siennes… Ce baiser fut langoureux, passionné, et des papillons envahirent le ventre de la Nausicaa, extrêmement heureuse. Peu importe qu’elle soit en train de rêver ou non, pour elle tout ceci était parfaitement réel…

« Oh Gaspar… Je… »

Mais, plutôt que de terminer sa phrase, Naïa préféra embrasser de nouveau son ami – ou amant, plutôt, dans ce cas-là – et s’empara donc de nouveau de ses lèvres. Puis elle laissa à son tour ses mains se balader sur le corps musclé de son partenaire et se retrouva même à lui soulever le T-shirt, prête à tout pour lui caresser la peau et palper ses muscles si appétissant…

Les choses s’accélérant extrêmement rapidement entre les deux amants – d’autant plus puisqu’il s’agissait d’un rêve, je vous le rappelle – ils se retrouvèrent rapidement chacun en sous-vêtements, l’une plaquée contre un mur par l’autre, pour… se réveiller quelques temps plus tard dans un canapé, après un acte qui semblait avoir été plutôt chaotique… Se réveillant lentement, l’endorphine l’envahissant encore un peu, la Naïa du rêve vit Gaspar relevé sur un coude, l’observant en souriant énormément. Ce qui, bien évidemment, la fit sourire à son tour. D’autant plus lorsqu’elle le vit s’approcher d’elle pour l’embrasser à nouveau, lui caressant le bras distraitement…

« Je t’aime Naïa, si tu savais… »

Ces mots, qui étaient pourtant de mise après un moment comme celui qu’ils venaient de partager, remplit Naïa de joie, et elle ne put s’empêcher de se jeter littéralement sur le rockeur pour lui offrir un baiser fougueux remplit de tout l’amour qu’elle lui portait. Si elle s’écoutait, elle aurait même été prête à remettre le couvert, comme on dit, et repartager un moment sauvage avec le beau Gaspar… Mais le moment n’était pas à tout cela, et elle préféra simplement l’embrasser pour ensuite lui avouer à son tour tout les sentiments qu’elle éprouvait pour lui…

« Moi aussi je t’aime Gaspar… Plus que tout… »

Malheureusement, toute bonne chose a une fin et, après ses aveux rêvés à Gaspar, Naïa se réveilla subitement, allongée sur le sol de la Lande, loin de son beau rockeur et de tout ce que son esprit avait imaginé. Encore un peu perturbée, elle mit un certain temps à réaliser que tout ce qui s’était passé n’était qu’un rêve. Elle s’attendit même un instant à retrouver son amant à ses côtés… C’est seulement en apercevant Marin non loin d’elle, et en ne sentant personne venir lui caresser le bras, que la pompière constata enfin que rien de tout ceci n’était réellement arrivé… Elle sentit alors la tristesse l’envahir, mais préféra l’oublier pour se concentrer sur toutes les bonnes choses qu’elle avait imaginés…

Pantelante, et plutôt perturbée – plus que ce qu’elle ne l’aurait cru dans un premier temps – la Nausicaa se redressa donc lentement et secoua la tête pour se réveiller complètement. Cela lui permit de faire diminuer petit à petit l’impression de béatitude que lui avait laissé son rêve, ainsi que toute l’excitation qui va avec, et elle put ainsi se reconcentrer sur Marin et ce qu’il était en train de faire… A savoir embêter un petit Tournegrin voletant non loin de lui… Ce qu’il était mignon quand il jouait celui-là !

Décidant donc de laisser Marin tranquille et de ne pas le gronder parce qu’il embêtait un Pokémon sauvage – c’était de toute façon le but de leur visite ici, après tout – Naïa préféra sortir une bouteille d’eau de son sac et en boire une bonne gorgée. Après tout, un peu d’eau lui ferait le plus grand bien suite à ce sommeil un peu imprévu… Non seulement parce qu’elle était plutôt ensuquée, mais également parce que ce rêve lui avait donné particulièrement chaud. Très chaud même… Tellement que, sans vraiment qu’elle ne s’en rende compte, la bouteille fut vidée à moitié… Mais tant pis ! Elle en avait d’autres. Et puis, si ça lui faisait du bien, pourquoi la Nausicaa se priverait d’elle d’une bonne lampée d’eau, hein ? Autant boire autant que nécessaire ! C’est en tout cas ce à quoi elle pensa en s’apercevant enfin de la quantité d’eau qu’elle avait ingurgitée, et elle haussa les épaules avant de ranger la bouteille dans son sac.

« Allez Marin, la nuit va bientôt tomber ! Laisses ce Tournegrin tranquille, on rentre à la maison ! »

Ayant remarqué le soleil de plus en plus bas dans le ciel, Naïa se leva et fit un signe à son Pokémon pour qu’il la suive. Ce dernier, déçu, la suivit tout de même, même s’il boudait, et ils prirent le chemin inverse de celui qu’ils avaient parcouru jusqu’à présent. Sauf que la pompière n’avait pas prévu de priver le Larméléon de combat, non… Elle le laisserait affronter qui il voulait, mais il le ferait simplement en sens inverse, sur le chemin de la maison…

Déterminée à faire croire à son cher petit Larméléon que la soirée entraînement était terminée, Naïa marchait d’un pas rapide et assuré, jetant parfois des regards en arrière comme si elle voulait surveiller qu’il la suivait bien. Bien entendu, tout ceci n’était qu’une mise en scène pour ajouter à la petite blague que faisait la Nausicaa à Marin, mais ça l’amusait beaucoup trop pour ne pas le faire… Et en voyant le Lézard’Eau avancer en boudant, voulant continuer à se battre contre des Pokémons sauvages, ça ne faisait que lui donner encore plus envie de le taquiner… C’est pourquoi, une ou deux fois, elle ignora délibérément certains Pokémons sauvages s’approchant d’eux. Mais, lorsqu’un Paras se retrouva droit devant elle, elle décida que la blague avait assez duré. Elle se baissa donc, caressa la tête de Marin, et lui offrit son plus beau sourire.

« Allez mon grand, c’est pas parce qu’on rentre à la maison que je vais t’empêcher de t’amuser ! Tu peux attaquer ce Paras si tu veux, et tout les Pokémons qu’on croisera à partir de maintenant ! »

Oubliant immédiatement sa déception, le Larméléon sautilla, remerciant sa dresseuse du regard, puis s’approcha du Pokémon parasité pour l’affronter et lui envoyer une attaque digne de ce nom. De son côté, Naïa, qui avait toujours aussi peur des insectes, recula de quelques pas pour lui laisser l’espace de combattre, mais surtout pour s’éloigner de ce Pokémon qu’elle détestait… Ce qui ne l’empêcha pas d’encourager son compagnon, cela va de soi !

« Ouais, parfait mon grand ! Continues comme ça, et Eden sera bien obligée de reconnaître que tu es génial ! »

L’attaque de Marin ayant atteint le Paras de plein fouet, Naïa s’était de nouveau approchée de lui et, lui caressant une nouvelle fois la tête, elle essayait de nouveau de l’encourager à donner le meilleur de lui-même, en lui rappelant ce pourquoi il faisait tout ça. Et, à vrai dire, ça marchait extrêmement bien puisque, en entendant le nom de la belle Lixy, le Larméléon se mit à sautiller sur place, heureux, et se colla presque à sa dresseuse pour la remercier de faire ce qu’elle faisait pour lui. Et, de son côté, la pompière continua de lui démontrer toute son affection en le papouillant avant de se redresser et de reprendre le chemin de chez elle. Non sans pousser son Pokémon à continuer à s’entraîner, bien entendu…

« Bon, au suivant alors ! Qui est-ce qui va subir ton courroux aquatique, maintenant ? »

Marin, ne comprenant qu’à moitié ce que lui disait Naïa, ne se concentra que sur une seule des choses qu’elle lui avait dit : au suivant. Et il se mit donc à courir partout pour trouver son prochain adversaire, celui qui lui permettrait de s’entraîner encore un petit peu et de gagner assez d’expérience. Celui qui lui permettrait peut-être de devenir un bel Arrozard pour faire une surprise à Eden…

Et l’adversaire en question fut un Dynavolt, qui semblait jouer tout seul non loin d’ici. Comme le Marisson en milieu de soirée, c’était un Pokémon d’un type super efficace contre le type Eau de Marin… Mais, comme cela avait été le cas avec le Marisson, notre cher Larméléon n’en eut pas grand-chose à faire… Tout ce qui comptait pour lui, c’était d’affronter le plus d’adversaires possibles, de gagner en niveau et, pourquoi pas, d’évoluer ! Un but qui ne pourrait pas être atteint s’il passait son temps à sélectionner les Pokémons qu’il allait affronter, ou à éviter chaque type contre lequel il était faible… Ou, en tout cas, c’était comme cela que Marin pensait. Et c’est ce qui expliquait que, maintenant que Naïa lui avait dit qu’il pouvait affronter tout les Pokémons qu’il croisait, il attaquait littéralement chacun de ce qu’il croisait… Un Pokémon Electrik, un Pokémon Plante, un Pokémon insecte… Tout la Lande allait y passer, si le Larméléon continuait ainsi… Une chose que sa dresseuse surveillait particulièrement, ne souhaitant pas être responsable d’un quelconque problème au sein de ce magnifique paysage. Elle laissait Marin s’amuser, certes, mais, s’il blessait l’un de ses adversaires, ou si un quelconque incident se produisait, elle mettrait fin à la session d’entraînement. C’était son instant de pompier qui parlait, sur ce point là…

« Fais quand même attention mon grand, qu’il ne te fasse pas mal ! »