| Growlithe and coffee • Eos |
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| Faceclaim : Ben Barnes
Notoriété : 32
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Crédits Système : 5520
Ville : Castlerain
Métier : Batteur/Chanteur du groupe Asylum
|  Lun 7 Sep - 16:50 Oliver est homme à écouter les conseils, c’est au moins une qualité indéniable dont il bénéficie et qu’il use sans aucun problème. Celui d’Eugène n’est absolument pas tombé dans l’oreille d’un sourd, et il lui a fallu un peu de temps avant de trouver un élevage qui lui convienne pour sa future acquisition. Pas question d’aller chercher dans la nature un petit Pokémon sauvage qu’il faudrait ensuite dresser pour lui apprendre ce qu’il attend de lui ; quelque chose lui dit qu’un Pokémon issu d’un élevage pourra au moins être plus docile et apprendre plus facilement. Canne à la main, Oliver s’avance dans la forêt bordant Lucinel, observant d’un oeil concentré son Motismart qui lui indique la route à suivre pour sa destination. On lui a dit qu’il y avaient plusieurs élevages ici, Mallory a acheté Manza dans le coin, d’après lui ; mais l’élevage dans lequel il se rend, lui, n’est pas un grand familier des Pokémon de Galar.
L’endroit, dans la forêt, semble tout à fait digne de ce qu’on disait sur internet. Si la femme qui s’occupe des lieux n’a pas été élue éleveuse de l’année, elle a tout de même réussi à se faire une bonne notoriété en peu de temps, comme indiqué sur le site. L’endroit est calme, reculé, et ce qu’il semble voir un peu plus loin, ce sont de vastes enclos contenant des Pokémon feu. Il est donc bien au bon endroit, songe-t-il avec un sourire, en approchant d’une silhouette féminine qui semble vouloir faire tout le tour des lieux en s’assurant que les Pokémon ont tout ce qu’il leur faut. « Bonjour ! Appelle-t-il en levant une main, attirant l’attention de la jeune femme qui se retourne aussitôt. C’est ici l’élevage Wildfire ? »
Oui, quelque chose lui dit que de toute manière, il ne doit pas y avoir quarante élevages près de Lucinel non plus, et certainement pas deux fois la même spécialisation. Alors le batteur d’Asylum sourit, tranquille, avant de tendre une main pour serrer celle de la propriétaire. Comment font-ils, les éleveurs, pour s’installer aussi près de la ville contenant la plus grosse concentration de Pokélovers du pays ? Ces gens-là ne doivent pas beaucoup apprécier qu’on fasse se reproduire des Pokémon à but de se faire de l’argent dessus, non ? « Oliver Porter, se présente-t-il, vous m’avez été chaudement recommandé. J’aurais besoin de voir vos Caninos, on m’a dit que vous aviez un couple ? Ma demande est un peu particulière, je pense qu’il faut qu’on en discute un peu. » Tout le monde ne vient pas pour acheter une future Pokémonture, après tout. | Oliver Porter  | | | | |
| | Mar 8 Sep - 12:05 Tu es occupée à faire le tour de la propriété, Eos. Tu as fort à faire en ce moment, et tu commences à enchaîner les heures à partir du milieu de la semaine, alors il te faut en faire un maximum maintenant. Ce n’est pas toi qui vas t’en plaindre, ma douce, tu adores cet endroit et tu aimes encore plus tes petits pensionnaires. Passer du temps avec eux, c’est l’une des choses qui te fait le plus de bien, et si commencer ton travail d’appoint t’inquiète, c’est uniquement parce que tu seras moins souvent là… Uniquement, ouais. Tu ne penses pas à toi, comme toujours.
Tu finis par t’accroupir devant Zmeï qui réclame encore une fois des câlins et pendant de longues minutes, il n’y a plus que ça dans ta tête. La bouille joyeuse du Reptincel qui s’accroche à toi avec plaisir et c’est tout. C’est quand tu entends une salutation, au loin, que tu cesses de le choyer, pour poser ta main sur sa tête, et lui demander d’être sage. Tu te remets sur tes jambes, Eos, avant de te retourner pour regarder qui vient par chez toi.
« Bonjour ! Tu réponds, sur un ton enjoué, en te remettant en marche vers l’homme qui s’appuie sur une canne. Oui, oui, c’est bien ici. Je suis Eos O’Malley, la propriétaire, enchantée ! »
Tu viens lui tendre la main du bon côté pour qu’il puisse serrer la tienne sans devoir quitter la stabilité de sa canne, et tout ça sans y réfléchir. Tu es juste comme ça, attentive et sensible aux besoins des autres. Tes yeux glissent sur le visage de l’homme, alors que tes lèvres s’étirent un peu plus. Tu l’écoutes avec attention se présenter, puis parler du couple de Caninos que tu as recueilli il y a quelque temps maintenant. Et tu es en train d’hocher la tête en voulant répondre, quand Zmeï s’interpose entre vous, non pas avec agressivité, mais pour renifler l’homme et tendre la main vers lui, pour avoir une friandise.
« Mais quel glouton ! Tu râles en riant, avant de te pencher pour prendre le reptincel dans tes bras un instant et coller ton regard dans le sien. Zmeï, ce n’est pas beau de quémander de la nourriture ! Tu vas avoir bientôt ton repas, soit sage et va jouer avec Silver, va ! »
Il râle un peu, mais quand tu reposes les 20kg d’amour et de feu, il finit par renifler encore une fois Oliver et se sauver en courant vers le Feurisson qui s’est éveillé d’un coup en entendant son nom. Tu peux enfin te consacrer à ce client qui a l’air bien particulier.
« Oliver, donc. Tu reprends en ramenant tes yeux et ton sourire à lui. Je suis heureuse de savoir que mon nom vous a été transmis. Que diriez-vous de venir vous asseoir au salon avec moi pour discuter de votre demande ? Si je suis à même de la satisfaire, nous pourrons aller voir mes Caninos après, d’accord ? »
Tu lui fais signe de te suivre, en récupérant au passage le Goupix qui, forcément, vient se coller à toi parce qu’un intrus est entré dans l’enceinte de l’élevage. Tu as tellement l’habitude, Eos, que tu agis complètement par instinct. Quand tu finis par lui ouvrir la porte de chez toi et lui montrer la table du salon, tout de suite à gauche, tu reprends :
« D’ailleurs, vous pouvez me tutoyer sans souci, je ne suis pas une adepte de la distanciation du "vous". Tu t’approches de la table. Je vous sers quelque chose ? Ensuite, vous me raconterez votre demande ! »
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| Ven 11 Sep - 13:48 La jeune femme qui gère cet endroit s'appelle donc Eos, et Oliver tend la main en souriant. Elle a l'air aimable, très à l'aise dans cet endroit ; les gens qui élèvent des Pokémon sont bien souvent des passionnés du type qu'ils ont choisi, après tout. Mallory lui a parlé de Jarden, qui vit un peu plus loin dans la forêt, et c'est bien le même genre, entouré de Pokémon dans les bois et peut-être bien plus heureux qu'avec des êtres humains. Si elle a ce genre d'attitude, elle n'en montre absolument rien, et c'est d'ailleurs avec un Reptincel qu'elle se présente, occupé à renifler sa main et prêt à entrer à l'intérieur de sa manche ou de sa poche en quête d'une friandise. Oliver en a toujours plein les poches, depuis quelques semaines elles sont le moteur d'entraînement d'une très grande partie de son équipe.
« Mais quel glouton ! Zmeï, ce n’est pas beau de quémander de la nourriture ! Tu vas avoir bientôt ton repas, soit sage et va jouer avec Silver, va ! » Silver ? Est-ce que Gaspar serait passé par cet élevage ? Oui sans doute, mais pas pour la Minidraco, et lorsque l'éleveuse repose le Pokémon pour l'amener à aller vers un Feurisson, le jeune homme comprend qu'il s'est trompé. Lui qui a toujours beaucoup aimé les Pokémon de type Feu, il se sent presque comme chez lui à tous les regarder gambader autour de la jeune femme. « Oliver, donc. » Eh oui, et il sourit le batteur, maintenant qu'il a de nouveau son attention. « Je suis heureuse de savoir que mon nom vous a été transmis. Que diriez-vous de venir vous asseoir au salon avec moi pour discuter de votre demande ? Si je suis à même de la satisfaire, nous pourrons aller voir mes Caninos après, d’accord ?
– Ça me va très bien, répond l'intéressé après un haussement d'épaules, léger. Ce sera plus simple de vous expliquer ça au calme, de toute façon. » Non pas qu'il n'aime pas la compagnie bruyante des Pokémon, bien loin de là ; mais son choix va être très important pour plus tard, alors il s'agit de bien l'expliquer.
Il décide donc de la suivre, talonné par un Goupix qui n'est pas sans lui rappeler son vieil Allumette ; ce dernier, bien loin d'apprécier encore les longues sorties avec son dresseur, leur préfère désormais le recoin tranquille de son appartement, un panier près de la fenêtre où il peut observer les Pokémon oiseaux. Une porte s'ouvre et il hésite à relâcher ses propres Pokémon, Oliver, avant de considérer qu'il y en a sans doute bien assez sur place pour le moment. Peut-être tout à l'heure, en ressortant. « D’ailleurs, vous pouvez me tutoyer sans souci, je ne suis pas une adepte de la distanciation du "vous". Je vous sers quelque chose ? Ensuite, vous me raconterez votre demande !
– Le tutoiement est valable des deux côtés alors, répond le batteur dans un petit rire. Si vous avez du café je suis preneur, merci beaucoup. » Une fois invité à s'installer, Oliver s'assoit à la table, dépose sa canne à côté de lui. Ce maudit objet aura sa peau un jour, mais pour le moment, c'est un appui nécessaire. « Je me lance dans la carrière de dresseur, la décision a été prise il y a peu, commence-t-il, peut-être un peu comme tous ceux qui ont déjà passé la porte de cet élevage. L'ennui, c'est qu'entraîner mes Pokémon dans des endroits tranquilles comme la Lande ou la forêt ne sont pas vraiment un problème pour moi pour le moment, ma jambe risque forcément de m'en poser un vrai, à un moment ou à un autre quand il va falloir s'aventurer sur des terrains un peu plus dangereux. »
Sera-t-elle d'accord pour lui confier un Pokémon qui n'aura presque que l'usage qu'il s'apprête à lui expliquer ? Il verra bien, autant prendre ses renseignements. « Dans la mesure où je vais être incapable d'arpenter un certain nombre de terrains même avec cet objet de malheur, poursuit-il en désignant sa canne, je vais avoir besoin d'une Pokémonture, et un Arcanin me semblait tout indiqué pour ça. Si tu es d'accord pour me confier un Pokémon que j'élèverais certainement uniquement pour cet usage. » Et il a de l'espoir, Oliver. Sans ce Pokémon, les choses risquent d'être très difficiles. Et il ne va pas monter sur un Méganium tout de même, si ?
| Oliver Porter | | | | |
| | Ven 11 Sep - 16:26 Il accepte sans souci ta proposition, Eos, et ça te suffit pour lui ouvrir la route. Sans même y penser, tu viens naturellement ralentir ton pas pour ne pas qu’il se sente obligé de se presser. Finalement, ce n’est qu’en entrant chez toi, Natsu dans les bras, que tu reprends le chemin de cette rencontre, en lui proposant autant une boisson que ce tutoiement. Et puisque tu es une femme simple, il te suffit de l’entendre accepter les deux pour lui offrir un de tes plus beaux sourires.
« Parfait alors ! Je reviens dans deux minutes. Natsu te tiendra compagnie ! »
Tu viens poser le Goupix sur le sol, près de l’homme qui s’installe, avant de disparaître dans la cuisine qui n’est pas très éloignée. Il ne te faut pas plus de quelques minutes pour revenir avec deux tasses, un café fraîchement moulu, et du sucre vanillé (tu as une folie sur ça, en ce moment !), ainsi que des cookies. Tu viens poser le tout sur la table, entre vous et tu lui tends sa tasse ainsi que l’assiette avant de t’asseoir. Natsu en profite pour venir se lover sur tes jambes.
« Je t’écoute. »
C’est tout ce que tu te bornes à lui offrir, avant de le laisser t’expliquer qui il est et surtout ce qu’il veut devenir. Tu comprends assez rapidement que sa demande va être particulière, parce que lorsqu’il parle de devenir dresseur, tu te doutes qu’il aura des soucis avec sa jambe. À aucun moment, tu ne glisses tes yeux sur sa canne ou sa jambe, et au contraire, tu l’écoutes avec sérieux, en touillant doucement un bloc de sucre vanillé dans le café.
« Hmm… je vois. Choisir une poké monture pour t’aventurer dans des zones plus dangereuses est une bonne idée, mais elle ne t’assure pas pour autant une sécurité parfaite. Je sais que je me mêle de ce qui ne me regarde pas, mais à mon sens, tu ferais bien de partir accompagné ou de dresser un pokémon vol pour prévenir les autorités en cas de chute ou de problème. »
Oui, avant même de songer à sa demande, c’est sur sa sécurité que tu te penches. Tu n’as pas envie de lui dire que ce métier n’est pas fait pour lui, parce que c’est entièrement faux. Tu crois sincèrement qu’il n’y a que les limites que l’ont se met, qui existent, et Oliver visiblement ne veut pas s’imposer celles de sa jambe.
« Honnêtement, je ne vois aucun souci à ce que tu adoptes un des Caninos qui naîtra chez moi pour en faire une monture, tant que tu lui offres les mêmes soins et attentions qu’à tous tes pokémons. Tes lèvres reviennent s’étirer. Au contraire, je serais très heureuse de savoir que grâce à mon travail et à la vaillance de mes pokémons, tu as pu poursuivre ton rêve ! »
Tu n’as pas envie de tourner autour du pot et de le laisser imaginer que tu pourrais refuser. Ce n’est pas ton genre, clairement. Finalement tu viens toi-même attraper un cookie, en donner un petit bout au Goupix qui a relevé le nez aussi sec, et quand tu reprends la parole, tu es un peu plus hésitante.
« Puis-je te demander ce qui t’est arrivé ? Tu soutiens son regard, en tentant de lui transmettre ta volonté de ne pas le blesser. C’est juste que… je procure quelques soins par des remèdes naturels, peut-être pourrais-je essayer de trouver quelque chose pour soulager au moins un peu la douleur ? »
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| Mar 15 Sep - 3:02 Il est très important qu'Eos comprenne les enjeux d'une demande comme celle d'Oliver. Le Pokémon qu'il lui achètera ne sera jamais entraîné au combat, il a besoin d'une créature, douce, docile et aventureuse capable de ne pas craindre les différents terrains qu'il visitera avec elle. Pour cela, il faut absolument que l'éleveuse à qui il compte faire une telle demande dispose d'un Pokémon comme celui-là ; mais il ne s'inquiète pas trop Oliver, on lui a recommandé cet endroit, et la jeune femme semble presque plus proche de ses Pokémon que des êtres humains, alors il n'y a clairement pas de quoi s'en faire, si ? Il sourit doucement en s'expliquant, appliqué à ne pas taire le moindre détail ; dans ce genre de cas, la transparence est très clairement de mise. Avec un peu de chance, Eos a justement à sa disposition un petit Caninos qu'il se fera le plaisir d'élever pour cet usage ; dans tous les cas, il ou elle sera bien traité, qu'elle ne se fasse aucun souci là-dessus.
« Hmm… je vois. Choisir une poké monture pour t’aventurer dans des zones plus dangereuses est une bonne idée, mais elle ne t’assure pas pour autant une sécurité parfaite. Je sais que je me mêle de ce qui ne me regarde pas, mais à mon sens, tu ferais bien de partir accompagné ou de dresser un pokémon vol pour prévenir les autorités en cas de chute ou de problème. » Elle n'a pas tort bien entendu, et bien loin de se vexer, Oliver hausse doucement les épaules, un petit sourire aux lèvres avant de lui répondre de la façon la plus concise possible. « Il se trouve que j'ai récupéré une petite Nirondelle qui fera partie de mon équipe, donc... j'imagine que quand son aile sera guérie et qu'elle pourra de nouveau voler correctement, elle pourra prévenir s'il se passe quelque chose. Mais c'est gentil d'avoir pensé à ça pour moi. » L'attention est touchante, et d'qilleurs Oliver n'est clairement pas au bout de ses surprises ; Eos n'en a pas terminé avec ce genre de conseils, et c'est étrange comme il est d'accord pour les entendre là où, quelques temps auparavant, il était parfaitement exclu de lui donner des consignes à propos de sa santé. Il est moins tâtillon qu'avant sur certaines choses, c'est plutôt bon à savoir.
« Honnêtement, je ne vois aucun souci à ce que tu adoptes un des Caninos qui naîtra chez moi pour en faire une monture, tant que tu lui offres les mêmes soins et attentions qu’à tous tes pokémons. Au contraire, je serais très heureuse de savoir que grâce à mon travail et à la vaillance de mes pokémons, tu as pu poursuivre ton rêve ! » Bien, au moins ils sont sur la même longueur d'ondes ; ça lui fait plaisir, songe le batteur en répondant à son sourire par un autre, ravi de faire une transaction aussi profitable sans que cela pose le moindre problème d'éthique. S'il était tombé sur une Pokélover il aurait certainement fait un peu plus la gueule, songe-t-il en la regardant donner un morceau de cookie au Goupix, près d'elle. « Puis-je te demander ce qui t’est arrivé ? » Ah. Oui, bien entendu, il aurait dû s'attendre à cette question ; tout le monde la lui pose, et c'est toujours aussi déplaisant de devoir répondre, mais après tout c'est logique. Si seulement il avait disposé d'un petit enregistreur dans lequel il aurait laissé un message décrivant en détails ce qu'il s'est passé, ça l'aurait beaucoup arrangé. Alors, est-ce de la curiosité de la part de l'éleveuse, ou autre chose ?
« C’est juste que… je procure quelques soins par des remèdes naturels, peut-être pourrais-je essayer de trouver quelque chose pour soulager au moins un peu la douleur ? » Pas uniquement de la curiosité alors, songe Oliver en sentant, bien malgré lui, ses épaules se détendre légèrement. Cette façon qu'il a de se braquer à chaque fois qu'il doit répondre, il va vraiment falloir qu'il arrête. « Mon col du fémur s'est cassé quand les murs de ma maison me sont tombés dessus, il y a dix ans. A Myrtha. » Comme beaucoup d'autres, il en a gardé des stigmates à vie ; si pour beaucoup de gens ces derniers sont profonds mais invisibles, lui garde une belle trace boiteuse de son ancienne vie. Cette jambe traînante et bringuebalante, on dirait presque qu'un boulet s'est accroché à sa cheville et qu'il est obligé de le traîner en permanence. Avec le temps, pourtant, il a bien fallu s'y faire. « Ça ne me fait pas mal tout le temps. Quand le temps est humide, comme les petits vieux, quoi. Le reste du temps ça va, mais je ne pourrai plus jamais courir, d'où mon besoin d'une Pokémonture pour réussir ce que je veux essayer. » Quoique ce n'est pas un Arcanin élevé pour avoir un humain sur le dos qui lui donnera ses badges, mais c'est une autre histoire. « Si tu as quelque chose je suis preneur, mais pour l'instant, les joints marchent plutôt bien et ça m'évite les médicaments. C'est gentil de t'en inquiéter. » | Oliver Porter | | | | |
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