| My wonderfull little lovely baby || Eos & Gaspar |
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|  Dim 30 Aoû - 22:57 Il est un peu stressé, Gaspar, lorsqu’il arrive à l’entrée de la pension WildFire. Ce nom lui fait peur, et il n’est vraiment pas convaincu que déposer son Pokémon ici soit la meilleure idée du monde. Ce qu’il a toujours entendu, c’est qu’un bon dresseur élève lui-même les membres de son équipe, qu’il passe des heures à les entraîner de ses mains, que chaque moment important de la vie de ses compagnons, il doit le partager avec eux, mais… le fait est qu’il ne le peut pas. Pas en ce moment. Tout est beaucoup trop compliqué.
En plus, son petit Drogon d’amour, il est un peu particulier. Il est très particulier. Et si l’éleveuse le lui volait ?
Sans parler du fait que, WildFire, ça fait peur comme nom. Son pauvre Salamèche est la douceur incarnée, il n’a pas grand chose de wild, il va forcément se faire manger tout cru, c’est sûr et certain. D’ailleurs la rockstar, tremblant presque d’appréhension sous l’arche d’entrée dans la pension, est à deux doigts de faire demi-tour pour sauter dans un taxi et quitter cette horrible ville.
Il ne supporte plus Lucinel depuis que les pokélovers l’ont envahie et ça va bientôt faire un mois qu’il est obligé d’y venir tous les jours ou presque, sans parler de ses divers allers-retours d'un bout de la région à l'autre pour voir Oliver, alors autant dire que ses nerfs sont dans un sale état et que quand une voix douce et joyeuse l’interpelle depuis l’intérieur de l’élevage pour lui souhaiter la bienvenue, il passe à un cheveu de l’arrêt cardiaque et pousse même un petit cri de surprise, plaquant une main sur son cœur. « Vous m’avez fait peur ! dit-il en faisant volte-face, presque accusateur, alors qu’il se fait face à la femme qui s’approche, visiblement surprise de se faire aboyer dessus de la sorte. »
Forcément, elle a juste dit bonjour à un potentiel client qui attendait à l’entrée ; selon toute probabilité le client en question aurait dû s’attendre à ce qu’on vienne à sa rencontre. Ce que l’éleveuse ne sait pas, ce qu’on parle de Gaspar, et que Gaspar n’est pas comme tout le monde. La preuve, il est déjà en train d’essayer de se remettre de ses émotions et le regard qu’il adresse à la jeune femme est infiniment désolé. « Pardon je… suis un peu fébrile, excusez-moi, dit-il d’une petite voix avant de pincer les lèvres, fixant furtivement ses yeux au ciel comme s’il avait peur que des larmes imaginaires ne fassent couler un mascara dont il ne s’est absolument pas fardé. Vous êtes… la propriétaire de cet endroit ? Je voudrais vous laisser un Pokémon… peut-être. Enfin, j’aimerais voir un peu comment vous fonctionnez ici, avant, si possible. » | Gaspar Neskov  | | | | |
| | Lun 31 Aoû - 17:59 Tu es en train de courir d’un coin à l’autre des bâtiments depuis le lever du soleil. Il y a fort à faire en ce moment à l’élevage. Déjà, il y a cet oeuf, en incubateur, qui va éclore dans les jours à venir et ça te rend toute chose de savoir ça. T’es… impatiente et inquiète en même temps. Tant et si bien que tu repasses presque toutes les heures dans la pièce des incubateurs pour vérifier que tout va bien. Ensuite… et bien il y a toujours cette foutue cabane de jardin que tu as fait brûler et que tu es en train de réparer tant bien que mal en te disant, à chaque jour qui passe, que tu ferais bien d’aller chercher le policier pour avoir son aide, parce que les plantes de bois pèsent bien trop lourd pour toi.
C’est en revenant de la cuisine avec un verre d’eau, ainsi que le visage et les cheveux que tu as humidifié pour chasseur la sueur et souffler un peu que tu vois un homme qui attend devant chez toi. Il a l’air… perdu ? Oui, ça doit être ça, Eos, parce que quand tu t’avances vers lui d’un bon pas, sans perdre ce sourire que tu as toujours pour tout le monde, tu viens le saluer et… wow. Qu’elle réaction hein.
« Excusez-moi, je ne pensais pas être si effrayante. Tu ris doucement en avancer vers lui plus doucement cependant, alors que derrière toi, c’est le pas feutré et rapide du Goupix qui se fait entendre. Ne vous excusez pas, voyons. Vous vous sentez mieux ? Vous pouvez prendre ce verre, je n’ai pas encore bu dedans. »
Et oui, tu es clairement en train de mettre dans les mains de cet homme complètement perdu un grand verre d’eau fraîche, avant que Natsu ne vienne s'emmêler dans tes jambes et ne renifle l'inconnu l’air curieux et légèrement sur la défensive. Il faut dire que ton petit ami à poil roux se fait tout un devoir de veiller sur toi et de s’interposer entre le monde entier et ta sécurité. C’est comme ça, tu t’y es fait pour ta part.
À la place, tu relèves la tête du Goupix pour observer le nouveau venu quand il te demande si tu es la propriétaire. Et quand il enchaîne sur cette volonté de te confier un pokémon et bien c’est toi qui deviens surprise. Touchée aussi, tu rosis un peu, alors qu’un immense sourire étire tes lèvres et te voilà à hocher la tête avec puissance :
« C’est bien moi. Je m’appelle Eos O’Malley. Et tu lui tends aussi sec la main, sans avoir une once de crainte à ce mouvement accueillant parce que… tu es tout bonnement incapable d’avoir peur des autres. Pas sans raison en tout cas. Mais appelez-moi Eos et… tutoyez-moi si vous préférez, ça ne me dérange pas. Du coup, avant de parler de la pension, venez, entrez et faisons un tour des lieux. »
Et te voilà à lui ouvrir le bras pour le guider vers la cour au centre des bâtiments avant de lui emboîter le pas aussi vite. Tu l’observes, Eos, bien incapable de ne pas ramener tes yeux vers lui et sans réfléchir, quand tu sens Natsu faire de la résistance dans tes jambes, tu viens l’attraper dans tes bras et tu finis par refaire entendre ta voix toute douce.
« Comme vous pouvez le voir, nous sommes installés là depuis moins d’un mois, donc je suis encore en train de finir les détails. Pour l’instant, l’élevage se trouve dans ce bâtiment et la pension dans celui-ci. Tu désignes deux constructions plain-pied, où la vigne vierge et les fleurs sont venues faire des décorations naturelles. Souhaitez-vous que l’on commence par un point en particulier la visite ? »
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| Mar 1 Sep - 20:53 Elle est bien gentille, cette jeune femme ; le verre d'eau n'est vraiment pas de trop et Gaspar ne se fait pas prier pour l'accepter, adressant même un sourire aussi désolé que crispé à cette pauvre fille qu'il a agressé sans aucune raison. Il s'empresse d'avaler le contenu du verre, avant de baisser des yeux un peu curieux vers le Goupix qui accompagne sa bienfaitrice. Le petit s'est approché pour renifler son pantalon et le chanteur dessine, de fait, un petit sourire attendri. En d'autres circonstances, il se serait sans doute jeté à genoux pour le papouiller mais là, il est beaucoup trop fébrile. Au lieu de ça, il expose les raisons de sa venue, cherchant à reprendre contenance, sans vraiment de succès.
« C’est bien moi. Je m’appelle Eos O’Malley.
– C'est un joli prénom, observe-t-il simplement, serrant la main qui lui est tendue. »
Se concentrer plus ou moins malgré lui sur ce genre de détails lui permet d'oublier un peu le stress, bien qu'il n'ait pas assez conscience de cette démarche psychologique pour comprendre la raison de l'allègement du poids qu'il sent peser sur ses épaules. « Mais appelez-moi Eos et… tutoyez-moi si vous préférez, ça ne me dérange pas. Du coup, avant de parler de la pension, venez, entrez et faisons un tour des lieux. »
Il veut bien la tutoyer, à condition qu'elle le fasse aussi, mais Gaspar oublie de le préciser dès l'instant où il est invité à pénétrer directement dans l'élevage ; il n'en faut vraiment pas beaucoup pour faire remonter son stress. Est-ce que son petit bébé d'amour sera bien, ici ?
En tout cas, le Goupix qui finit dans les bras de sa propriétaire n'a pas l'air malheureux, c'est bon signe. Et la propriétaire en question est vraiment gentille, elle a l'air d'une douceur sans pareille et ça-aussi, ça le rassure, même si pour l'instant il est bien trop fébrile pour pouvoir se détendre. « Comme vous pouvez le voir, nous sommes installés là depuis moins d’un mois, donc je suis encore en train de finir les détails. Pour l’instant, l’élevage se trouve dans ce bâtiment et la pension dans celui-ci. »
Suivant des yeux les indications de Eos, Gaspar observe l'environnement et hoche doucement la tête. « Souhaitez-vous que l’on commence par un point en particulier la visite ?
– On peut peut-être commencer par l'élevage, si ça te va ? demande-t-il en songeant qu'il aime mieux repousser le moment de mettre les pieds dans la pension. D'ailleurs, tutoie-moi aussi, hein. J'm'appelle Gaspar. Gaspar Neskov. »
Il précise, on ne sait jamais ; si Eos est originaire de la région elle le connaîtra au moins de nom, c'est sûr. Non pas que ça lui importe beaucoup, mais un petit boost de fierté l'aiderait sans doute à reprendre un peu d'assurance, et ce ne serait clairement pas de trop.
C'est alors qu'ils se dirigent vers le bâtiment indiqué par l'éleveuse que Gaspar remarque, un peu plus loin, un bâtiment qui semble un peu... noirci. Ce constat le crispe aussitôt. « Vous avez eu un accident ? demande-t-il en désignant la construction en question d'un geste du menton. »
| Gaspar Neskov | | | | |
| | Mer 2 Sep - 13:24 Tu n’as pas besoin de répondre à sa remarque sur ton prénom, tu te cantonnes à un éclat de surprise dans tes yeux, qui vient allumer un magnifique sourire sur tes lèvres, qui suffit à le remercier, à lui dire que tu es touchée par sa remarque. Ton prénom, c’est peu commun, et tu as pris l’habitude que l’on t’interroge dessus, pas qu’on en vante la beauté. Comme quoi, il faut se préparer à tout.
En tout cas, Eos, quand tu te mets en route à ses côtés, en lui expliquant ce qu’il y a à savoir sur les bâtiments et l’ouverture récente, et bien tu es complètement dans ton élément. Et plus que ça encore, cet homme tout timide, qui a l’air d’avoir du mal à savoir comment se comporter à tes côtés et sur ton terrain te plait. Il est adorable, du genre que tu adores prendre sous ton aile. Tu sais déjà que, s’il décide de ne pas laisser son pokémon chez toi, il repartira avec une tisane sur mesure faite par tes soins comme ça, c’est une preuve que tu l’as instantanément adopté non ?
« L’élevage, ça me va complètement ! En plus, j’ai un petit bijou à te montrer si ça te dit. Et tu as pris automatiquement ce tutoiement qu’il t’a permis de prendre, sans perdre ton sourire. Et ça marche, je me souviendrai de toi, Gaspar ! Tu es de Lathéa ? »
Nan, parce que toi, Eos, tu es clairement encore aussi perdu qu’il y a 10 ans quand tu es arrivée. Tu fais sans cesse des promenades dans le coin et il arrive toujours la même chose : tu te perds. Qu’on ne vienne pas en tirer de fausses explications : tu adores Lathea, tu t’y sens bien plus à ta place que chez toi, mais tu vis encore comme une émigrée, c’est sûrement ça la vérité.
D’ailleurs, tu es en train de l’entraîner vers l’élevage, pleine d’entrain et encore plus de lui montrer l’oeuf qui marquera ta première naissance ici, quand il remarque le bâtiment sur lequel tu t’acharnes depuis des jours. Sa question est légitime, et toi tu viens rougir aussi sec. Du bout de ton nez jusqu’aux oreilles, si fort que si vous aviez été dans le noir, tu aurais probablement lui tel un phare pour les bateaux…
« Ah… Oui. Et tu passes une main dans tes cheveux relâchés qui cascadent sur tes épaules, avant de changer ton chemin pour aller vers la cabane. De toute façon, tu ne comptes pas mentir ni dissimuler l'événement. J’élève des pokémons feu, comme tu le sais sûrement ? Il y a quelques semaines, j’ai ramené deux Caninos croisés en balade chez moi, parce que le mâle était sacrément blessé. En voulant aller trop vite, j’ai laissé la porte ouverte à sa compagne pour m’attaquer. Et Natsu ici présent a préféré me protéger que reculer. Et tu es toujours bien rouge, ma douce, mais en plus tu as l’air vraiment honteuse de cette histoire. J’ai réussi à remettre tout le monde en ball avant que ça ne dégénère, mais la cabane était déjà en flamme. »
Et tu te tournes vers lui, pour voir sa réaction et savoir s’il va prendre ses jambes à son cou ou te juger avec ce que tu viens de lui raconter. Dans tous les cas, Eos, tu as fait au mieux et surtout, tu en as tiré des apprentissages, c’est ce qui est le plus important pour toi.
« C’est entièrement ma faute, la souffrance de Clyde, le Caninos, me rongeait le coeur et j’ai été trop vite… Tu viens mordre ta lèvre du bas, avant de rajouter, parce que ça te semble quand même sacrément important. Tout ce que je veux, ici, c’est le bien-être et la bonne santé de mes petits compagnons de feu. Mon empathie pour leur douleur m’a poussé à faire une erreur, mais je me suis rattrapée et Bonnie et Clyde sont parfaitement adaptés aux autres pokémons maintenant. »
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| Dim 6 Sep - 17:12 « Ah… Oui.
Est-ce que sa question met la jeune femme mal à l'aise ? Ça en a tout l'air, et si Gaspar ne comprend pas immédiatement pourquoi, quelques difficiles secondes de réflexion lui permettent finalement de comprendre qu'il est un peu délicat pour un propriétaire d'élevage d'assumer que des incendies se déclarent parfois là où vivent les Pokémon. Du coup, il se sent un peu idiot d'avoir posé sa question de façon aussi abrupte ; la pauvre doit penser qu'il se méfie, alors que... oui, c'est le cas, mais pas à cause de l'incident. « J’élève des pokémons feu, comme tu le sais sûrement ? Il y a quelques semaines, j’ai ramené deux Caninos croisés en balade chez moi, parce que le mâle était sacrément blessé. En voulant aller trop vite, j’ai laissé la porte ouverte à sa compagne pour m’attaquer. Et Natsu ici présent a préféré me protéger que reculer. »
La pauvre a vraiment l'air terriblement gênée et le chanteur en oublie sa propre appréhension - une appréhension qu'il avait d'ailleurs légèrement laissée de côté un peu plus tôt, quand la question d'Eos au sujet de ses origines l'a assez déstabilisé pour le distraire. Après une seconde de stupéfaction, il lui a simplement répondu qu'il était né à Myrtha, pas mécontent, finalement, que la jeune femme n'associe pas son visage à la sacrée réputation qu'il avait encore il y a quelques années, et pas en bien. « J’ai réussi à remettre tout le monde en ball avant que ça ne dégénère, mais la cabane était déjà en flamme.
– Si personne n'a été blessé, c'est la seule chose qui compte, répond-il en affichant un sourire doux, espérant ainsi rassurer l'éleveuse dont les joues sont devenues écarlates. Tu as fait de ton mieux, l'erreur est humaine.
– C’est entièrement ma faute, la souffrance de Clyde, le Caninos, me rongeait le coeur et j’ai été trop vite… ajout-t-elle alors, au comble du malaise. Tout ce que je veux, ici, c’est le bien-être et la bonne santé de mes petits compagnons de feu. Mon empathie pour leur douleur m’a poussé à faire une erreur, mais je me suis rattrapée et Bonnie et Clyde sont parfaitement adaptés aux autres pokémons maintenant.
– Alors il n'y a pas de quoi en faire tout un flan, décrète le dresseur en désignant le bâtiment endommagé d'un signe de la tête. C'est que du matériel, et on peut pas te reprocher d'avoir trop voulu sauver un Pokémon. Ce serait idiot. »
Et puis de toute façon, l'élevage accueille effectivement des Pokémon feu alors ils ne risquent pas de trop souffrir dans un éventuel brasier involontaire. Le risque principal était pour Eos elle-même. « Te tracasse pas à cause de ça, personnellement j'ai pas peur que mon bébé se retrouve pris dans un incendie. Je suis plutôt inquiet pour... son entente avec les autres Pokémon. Il est un peu particulier, en fait, raconte-t-il en sentait le stress le gagner à nouveau, au point de lui faire triturer nerveusement ses doigts tandis qu'il recommence à suivre Eos vers le bâtiment de l'élevage. C'est un Salamèche, et il n'est pas très vieux. Il est gentil et un peu timide, mais c'est surtout, enfin... il soupire, puis saisit une pokéball à sa ceinture. Ça ira plus vite si je te le montre. Je peux ? »
| Gaspar Neskov | | | | |
| | Mar 8 Sep - 11:46 Tu parles trop, Eos, mais tu es angoissée de l’image que ça donne de toi, cette histoire. Tu es aussi simplement encore choquée de ce qu’il s’est passé. Tes mains sont les témoins de ta précipitation et de ta tentative pour tout arrêter avant que ça ne s’aggrave, et ce au péril de ta propre sécurité. Parce que la réponse est toujours la même, ma belle, avec toi : toi, tu ne comptes pas. Heureusement, face à toi tu as une personne compréhensive, qui vient te rappelle que l’erreur est un droit accordé à votre espèce, puis qui vient chasser la gravité de tes paroles, pour pointer le plus important. Et ça te souffle, Eos, si bien que tu te figes et tu restes quelques trop longues secondes à le regarder fixement, avant de soupirer, avec soulagement.
« Merci… De te montrer compréhensif comme ça et de tes paroles. Tes yeux restent agrippés aux siens, comme tu le fais quand tu parles avec le coeur. Je ne te connais pas bien encore, mais tu as l’air d’une belle personne Gaspar Neskov. »
Tu es tout bonnement incapable de ne pas dire ce que tu penses, Eos, c’est comme ça. Tu parles, tu lui balances ces paroles qui pourraient le mettre mal à l’aise ou te faire passer pour… une dragueuse à deux ronds ? En tout cas, tu le dis, puis tu finis par te remettre en marche vers les bâtiments, en écoutant ce qu’il t’explique sur son petit chéri.
« Son entente avec les autres ? Si ça peut te rassurer, tous les pokémons ici sont des amours, s’il y a bien quelque chose qui ne me posent aucun souci, c’est l’entente globale du groupe. »
Tu tentes de le rassurer comme tu peux, Eos, parce que tu sens sa nervosité. Tu es d’ailleurs sur le point de changer tes plans pour l’emmener dans la grande salle de jeu où tes pokémons étaient quand tu es sortie de la maison pour lui prouver l’ambiance qui règne entre ces murs et qui t’est extrêmement importante. Tu fais un pas, tu ouvres la bouche, mais tu n’as pas le temps de répondre qu’il reprend ses explications et que tu t’arrêtes pour observer le dresseur inquiet.
« Oh parfait, ça fera un compagnon de jeu à Zmeï, mon reptincel ! Tu lui souris avec entrain, avant d’ajouter. Vas-y, laisse-le nous rejoindre, avec plaisir ! Je suis curieuse de voir ce qui t’inquiète tant à propos de ce petit coeur. Et tu vois, Eos, enfin tu penses à une possibilité, tu tends la main, juste avant qu’il n’utilise la pokéball pour la poser contre son poignet et l’arrêter une seconde. S’il a été blessé et qu’il a un traumatisme, ce n’est rien, Gaspar. Clyde, le Caninos blessé, garde un léger boitement, mais il s’entend bien avec les autres quand même ! »
Tu te sens obligée de le dire, parce que tu ne veux pas qu’il se fasse des idées sur son pokémon. Tu as vu trop de dresseurs abandonnés leurs petits pour ce genre de problème, tu n’as pas envie que ça puisse passer dans la tête de Gaspar, encore plus vu sa douceur et sa sensibilité. Ça ne lui ressemblerait pas.
« Vas-y, j’ai hâte de le rencontrer moi ! Que tu finis par l’encourager. »
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| Ven 11 Sep - 15:15 « Merci… De te montrer compréhensif comme ça et de tes paroles. Je ne te connais pas bien encore, mais tu as l’air d’une belle personne Gaspar Neskov. »
C'est dans ce genre de moments que Gaspar se rend compte d'à quel point il était dans le faux pendant toutes ces années, quand il a prétendu être quelqu'un de fort. Là, face au constat que les paroles d'Eos lui font faire, il pourrait simplement se mettre à pleurer. Parce qu'il aurait aimé, ça oui, il aurait tellement aimé pouvoir sourire en réponse, hocher la tête et affirmer avec aplomb qu'il ne sait pas s'il en est une, de belle personne, mais qu'il essaie, de son mieux. L'ennui c'est qu'il a bien trop conscience de son échec dans cette entreprise pour pouvoir la regarder dans les yeux et répondre ça alors il se contente de sourire timidement et de baisser les yeux. Si tu savais, tu ne dirais pas ça. Quand bien même il ne veut de mal à personne, est-ce qu'il peut vraiment prétendre être quelqu'un de bien alors qu'il trompe allègrement son mari dans le coma ?
La question n'est pas à régler maintenant. Il est là pour Drogon, et pas pour se morfondre sur la pauvre horrible personne qu'il est ; alors il essaie de retrouver contenance pour expliquer ses inquiétudes à la jeune éleveuse. Laquelle, d'ailleurs, semble un peu surprise. « Son entente avec les autres ? Si ça peut te rassurer, tous les pokémons ici sont des amours, s’il y a bien quelque chose qui ne me posent aucun souci, c’est l’entente globale du groupe. »
C'est un bon point, se dit-il en hochant la tête ; peut-être que si tout se passe bien ici, alors le Salamèche aura moins de mal à s'intégrer au reste de l'équipe. Il a juste besoin d'apprendre à se faire confiance, finalement, là où sa différence l'a sans doute toujours conduit à penser qu'il valait moins que les autres. « Oh parfait, ça fera un compagnon de jeu à Zmeï, mon reptincel ! Vas-y, laisse-le nous rejoindre, avec plaisir ! Je suis curieuse de voir ce qui t’inquiète tant à propos de ce petit coeur. »
Prêt à libérer le petit Salamèche, Gaspar s'immobilise pourtant quand une main douce sur son poignet vient arrêter son geste, et il relève un regard aussi surpris qu'inquiet vers Eos. « S’il a été blessé et qu’il a un traumatisme, ce n’est rien, Gaspar. Clyde, le Caninos blessé, garde un léger boitement, mais il s’entend bien avec les autres quand même ! »
C'est bon à savoir, même si ce n'est pas exactement le problème - pas du tout, même. Mais si un Pokémon blessé et, par ce fait, fatalement un peu différent à sa façon aussi, arrive à s'intégrer, alors ce sera probablement le cas de Drogon aussi. « Vas-y, j’ai hâte de le rencontrer moi ! »
Rassuré par l'enthousiasme bienveillant de l'éleveuse, Gaspar sourit doucement, et hoche la tête, avant d'appuyer sur le bouton de la ball pour qu'un faisceau lumineux libère le Pokémon, qui se précipite aussitôt pour se cacher dans les jambes de son dresseur. Ce dernier, inquiet mais habitué, s'accroupit aussitôt pour se mettre à la hauteur de son petit protégé, et le dévoiler aux yeux d'Eos. En plein soleil comme ça, la peau dorée du Salamèche semble littéralement s'embraser. « Panique pas mon grand, tout va bien, dit-il d'une voix toute douce en passant ses deux mains sur la grosse tête du Pokémon. J'te présente Eos. Elle est adorable, tu vas voir. Tu veux bien lui dire bonjour ? »
Timide maladif, le Pokémon feu ne bouge que pour se réfugier un peu plus contre son dresseur, s'invitant, cette fois, carrément dans ses bras, de quoi le faire tomber lourdement sur les fesses. Gaspar ne s'en formalise pas, il a l'habitude, et observe plutôt Drogon, qui ose, quand même, relever les yeux vers l'éleveuse. « Il est extrêmement timide, explique-t-il à la jeune femme. Je pense que sa couleur chromatique lui a valu d'être rejeté par les autres Salamèche. Il vivait avec une autre chromatique mais depuis qu'ils sont séparés, il a beaucoup de mal à s'intégrer aux autres Pokémon de mon équipe. C'est pour ça que je suis un peu inquiet, c'est comme s'il avait perdu toute sa confiance en lui quand sa femelle est partie ailleurs. »
| Gaspar Neskov | | | | |
| | Ven 11 Sep - 16:25 Tu es bienveillante, oui, c’est sûrement quelque chose que l’on pourrait dire de toi, Eos. Tu fais toujours en sorte de faire le bien, de protéger les autres, parce que toi, tu n’as eu personne pour le faire quand tu avais besoin. C’est amusant, parfois tu te dis que tu aurais toutes les raisons de ne pas être comme ça, de foncer et ne te soucier de rien, comme une rébellion face à la Vie, mais la vérité, Eos, c’est que tu es bien plus épanouie comme tu es. Et ça, c’est ta vraie victoire.
Tu prends donc le temps de parler avec Gaspar, tu lui offres ta gentillesse, sans même chercher à mentir. Tu lui dis ce que tu vois, toi, ce que tu ressens, certainement. Et même quand il parle de son pokémon, tu as ce mouvement pour l’arrêter, quelques instants, parce qu’il te semble tellement inquiet que tu crains qu’il ne veuille s’en séparer. Ce serait triste et honnêtement, Eos, tu n’accepterais pas ça.
Pourtant, quand tu le relâches et que tu l’encourages encore une fois à te dévoiler son petit pote Salamèche, tu ne t’attends probablement pas à la découverte que tu fais lorsque le pokémon apparaît hors de sa pokéball. La première chose que tu remarques, c’est la terreur du pauvre Salamèche, qui vient se réfugier contre l’homme. La seconde, c’est la douceur de Gaspar qui s’accroupit aussi vite pour lui offrir du réconfort. Et ce n’est que là que tu captes, enfin, la couleur mordorée du pokémon.
« Oh… »
C’est un tout petit souffle qui s’échappe de ta bouche à cette compréhension. Tu ne sais jamais comment les autres réagissent à cette particularité physique, mais toi, Eos, ça te laisse toujours le souffle coupé. Il est beau, différent oui, mais tout ce que tu vois, c’est qu’il est beau. Et qu’il est terriblement inquiet. C’est en entendant la voix douce de l’homme tenter de le rassurer que tu décides de l’aider.
Tout en douceur, lentement, tu viens t’accroupir, puis tu finis par poser tes fesses sur le sol, et ramener tes jambes à toi, en tailleur, pour paraître moins menaçante et surtout te mettre à son niveau. Tu lui montres aussi que tu ne le crains pas, parce que s’il décidait de te lancer une attaque dans cette position, tu ne pourrais absolument pas riposter. Enfin, tu viens tendre doucement la main vers lui, une friandise entre les doigts.
« Bonjour mon joli garçon. Tu vas bien ? Tu lui demandes avec un sourire calme sur tes lèvres. Tiens, ça c’est pour toi. Si tu ne veux pas le prendre dans ma main, je peux le poser, regarde. Et tu viens poser le petit gâteau sec sur le sol, entre toi et Gaspar. Tu vois, je ne vais te forcer à rien, je veux juste être ton amie. »
Tu passes encore quelques instants à observer le POkémon, réfugié dans les bras de son dresseur avant de ramener tes yeux sur lui. Tu hoches la tête, en écoutant les explications de Gaspar. Sa logique te semble la bonne.
« C’est fort probable. Les pokémons, tout comme nous, acceptent difficilement les différences au sein des groupes. Ça les met en danger, parce que le pokémon différent détonne parmi les autres. Tu fais une légère moue, avant de continuer. Tu as essayé des choses en particulier pour gérer son stress ? Ici, je me sers beaucoup d’huiles essentielles et d’encens, ça pourrait peut-être l’aider, sans faire de la magie, bien entendu. D’ailleurs, quel est son petit nom ? »
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| Dim 13 Sep - 3:56 Gaspar observe les gestes d'Eos alors qu'elle essaie de mettre en confiance son irréductible timide. Drogon observe l'éleveuse avec crainte, et il ne fait, pour l'instant, aucun geste pour accepter la friandise gentiment posée devant-lui, en dépit des mots encourageants de la jeune femme. Pour le coup, son dresseur en est sincèrement désolé et c'est une petite grimace d'excuses qu'il adresse à sa vis à vis, avant de lui expliquer sa théorie au sujet de la timidité du Salamèche. « C’est fort probable. Les pokémons, tout comme nous, acceptent difficilement les différences au sein des groupes. Ça les met en danger, parce que le pokémon différent détonne parmi les autres. »
C'est stupide, se dit-il en pinçant les lèvres, et c'est surtout injuste, tant pour les Pokémon que pour les humains. Après tout, ce n'est pas pour rien qu'il a eu si peur de se dévoiler, d'assumer qui il était. Ses faux-semblants sont allés jusqu'à le tromper lui, et il ne fait aucun doute qu'il a lui-même adopté ce comportement déplorable, fut un temps. C'est cette réputation-là qui continue de le suivre malgré les deux dernières années durant lesquelles il a essayé de se rattraper, et c'est justement pour cette raison qu'il ne s'est pas empressé de préciser qui il était à Eos qui n'a pas l'air au courant. C'est très bien comme ça. « Tu as essayé des choses en particulier pour gérer son stress ? Ici, je me sers beaucoup d’huiles essentielles et d’encens, ça pourrait peut-être l’aider, sans faire de la magie, bien entendu. D’ailleurs, quel est son petit nom ?
– Il s'appelle Drogon, répond le chanteur, machinalement, le visage un peu froncé par la concentration alors qu'il essaie de comprendre ce que veut dire l'éleveuse. De l'encens et des huiles ? Tu leur fais des massages ? C'est une bonne idée, je n'y ai jamais pensé... »
Pendant ce temps, Drogon semble légèrement tranquillisé par le fait que l'éleveuse n'insiste pas pour lui donner sa friandise, alors il se décide à tendre une petite patte pour s'en emparer et commencer à la grignoter petit morceau par petit morceau. « Le seul Pokémon de mon équipe avec lequel il s'entend, c'est Altaïr, mon Draby. Et je pense que c'est parce qu'il est sourd alors... il était rejeté, lui-aussi. Quand je l'ai capturé, il était plus maigre qu'un Chétiflor. Altaïr est encore plus craintif que lui donc Drogon a voulu l'aider et le rassurer, c'est un Pokémon vraiment gentil. Si tes massages magiques peuvent l'aider à prendre confiance en lui, je t'en serais vraiment reconnaissant. »
| Gaspar Neskov | | | | |
| | Lun 14 Sep - 15:05 Honnêtement, Eos, ça te brise le cœur. IL n’en faut jamais beaucoup pour ressentir ce genre de chose, qu’on soit d’accord, mais le spectacle que tu as sous les yeux, il est aussi beau que triste. Parce que ce Salamèche est adorablement mignon. Il a l’air sacrément futé, clairement avec un bon fond. Le problème est lié à son environnement de vie initial, et tu ne peux pas t’empêcher de faire le lien avec votre société, à vous les humains. Rejeté, probablement laissé seul, peut-être même violenté, les êtres vivants manquent tous cruellement d’acceptation, voilà ta conclusion.
Tu ne forces pourtant en rien le lien avec le petit Salamèche et tu reviens à son dresseur, qui continue de le tenir contre lui en te donnant les informations qu’il te manquait. Tu inscris son prénom dans ta tête et ça devrait te montrer la différence que tu fais entre pokémon et humain. Tu oublies souvent le nom de tes congénères, mais jamais celui des pokémons. On sait de qui tu te sens le plus proche, hein.
« Des massages ? Ah oui, parfois ça arrive, mais ce n’est pas le cœur de mes soins. J’utilise les plantes sous différentes formes pour aider à gérer les émotions, les traumatismes, les nervosités. Les plantes ne sont pas magiques, ce n’est pas une drogue, ça vient juste… apporter du support à mon propre travail sur la confiance en soi et en les autres pokémons puis humains. »
Tes yeux glissent un instant sur le pokémon qui ose se pencher en avant et venir chercher la friandise que tu as laissé sur le sol pour lui. Tu lui offres un sourire doux et une autre friandise au sol avant de détourner à nouveau les yeux. Tu te doutes que le fait de ne pas être observé l’aide à prendre un peu de confiance pour tester les récompenses alimentaires.
« Il a l’air vraiment adorable, ce petit Drogon. Tu réponds, après avoir écouté l’histoire avec son ami le Draby. Par contre, Gaspar, je ne vais pas te mentir. Les soins naturels n’ont rien de magique. C’est parfois long à mettre en place, ça ne le changera pas du tout au tout. Je… ne peux pas te promettre de réussir ou en tout cas de chasser toute cette timidité maladive. »
Tu as l’air sincèrement désolée, Eos, parce que tu voudrais bien entendu en faire plus, être certaine d’avoir la capacité de le changer et de lui offrir une vie parfaite, mais tu n’es pas une magicienne. Personne ne pourrait le promettre et ceux qui le feraient quand même ne seraient probablement que des charlatans.
« Par contre, je peux te jurer que je prendrai soin de lui et que je vais y mettre toute ma connaissance et mes forces pour l’aider. Ça je le peux. J’ai vraiment envie de l’aider… et de t’aider toi. Tu leur offres un joli sourire, à tous les deux. Je ne suis pas magicienne, mais j’ai de l’énergie à revendre ! »
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| Jeu 17 Sep - 16:34 Alors les huiles et les encens ne sont pas pour des massages, ou pas que, d'accord, Gaspar avait mal compris mais on ne sait pas qui ça étonne. Il écoute l'explication avec attention et hoche la tête d'un air approbateur même s'il n'arrive pas du tout à se figurer quel effet peuvent avoir les plantes pour aider à la confiance en soi ; ce n'est clairement pas son domaine et Eos a l'air de savoir ce qu'elle fait alors il décide de lui faire confiance sans poser plus de questions, de peur de se ridiculiser. « Il a l’air vraiment adorable, ce petit Drogon. »
Oui, il l'est, ne répond le chanteur qu'en hochant la tête à nouveau, après avoir expliqué comment ce grand timide a accueilli avec douceur le Draby terrorisé. Maintenant, ça commence à aller mieux, et c'est grâce au Salamèche, indéniablement. Gaspar l'a déjà vu pousser Altaïr vers les autres alors qu'ils s'amusaient, sans pour autant les rejoindre lui-même. « Par contre, Gaspar, je ne vais pas te mentir. Les soins naturels n’ont rien de magique. C’est parfois long à mettre en place, ça ne le changera pas du tout au tout. Je… ne peux pas te promettre de réussir ou en tout cas de chasser toute cette timidité maladive.
– Ce n'est pas grave tu sais, j'ai surtout besoin qu'on s'occupe de lui pendant quelques temps. Pour son caractère, si tes soins peuvent aider, c'est tant mieux, mais je pense qu'il a surtout besoin de temps pour s'intégrer à mon équipe. Le rendre différent du tout au tout grâce à un truc magique, ça aurait rendu les choses encore plus compliquées pour lui, je pense. »
Et lui, à titre personnel et sans doute égoïstement, n'a pas vraiment envie que son Salamèche devienne totalement différent entre le moment où il le dépose ici et celui où il le récupérera. Il adore Drogon autant que tous les autres, comme il est. Alors si sa timidité ne pose pas de problème pendant le temps qu'il passera en pension, il est rassuré. Dans tous les cas, Eos n'a pas à s'inquiéter des miracles qu'elle ne pourra pas faire : ce n'est pas ce qu'il lui demande, et c'est la raison pour laquelle il lui sourit gentiment. « Par contre, je peux te jurer que je prendrai soin de lui et que je vais y mettre toute ma connaissance et mes forces pour l’aider. Ça je le peux. J’ai vraiment envie de l’aider… et de t’aider toi. Je ne suis pas magicienne, mais j’ai de l’énergie à revendre !
– Tu es vraiment gentille, lui répond Gaspar, ému. Pour ne rien te cacher, j'avais peu de laisser Drogon en pension, à cause de son caractère c'est vrai mais aussi parce qu'on ne sait jamais vraiment à qui on les laisse, nos Pokémon... mais je suis rassuré. Je t'aime beaucoup et je suis sûr que Drogon t'aimera lui-aussi. »
La preuve, le Salamèche s'est doucement échappé des bras de son dresseur pendant que celui-ci parlait, et maintenant il s'approche prudemment de l'éleveuse, curieux et apparemment... intéressé. Il a mangé les deux friandises et on dirait qu'il en veut encore. « Dis donc, gourmand, rigole le chanteur en tapotant la tête de son Pokémon du bout du doigt pour le réprimander. Depuis quand tu réclames ? »
Un petit gémissement de protestation s'échappe de la gueule du Salamèche qui se laisse sagement tomber sur les fesses, mais continue de regarder Eos avec insistance, sous le rire léger de Gaspar. « Il a clairement l'air plus à l'aise, félicitations ! »
| Gaspar Neskov | | | | |
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