Kayden n’avait pas souvenir d’avoir déjà commis une aussi grosse bêtise dans sa vie. Allongé sur le sol de la Lumiclairière, il n’arrivait pas à comprendre encore ce qui lui était passé par la tête. Il avait déconné voilà tout. Cette recherche et ce manque de réponses étaient en train de le rendre fou. Lorsqu’il avait aperçu cet homme avait la veste de l’entreprise fantôme qu’il recherchait, il avait improvisé. Dans un premier temps, il l’avait suivi du fleuve jusqu’à la Lumiclairière dans l’espoir que cet inconnu puisse le conduire au Quartier Général de cette compagnie dont il ne savait même pas le nom. Ça n’avait pas été le cas. Kayden l’avait perdu à l’entrée de la forêt enchantée. Il s’était effondré une première fois. Cet échec avait été un dur coup pour lui. Il avait un peu perdu la notion du temps à ce moment-là, Kay’ ne pouvait pas dire combien de temps il était resté au sol à pleurer et à maudire cet inconnu. Les heures avaient eu raison de lui et il avait réussi à chasser sa peine. Une fois debout, il avait réussi à profiter de la beauté de l’endroit. Il avait fait le tour en compagnie de sa Goupix tout en apprenant à Diyoza quand elle pouvait se permettre d’attaquer et quand il fallait éviter. Au final, cette journée qui avait mal commencé avait continué sur une note un peu plus légère. Kayden s’était même surpris à attraper quelques Pokémons. Cet endroit le changeait. Il s’y sentait drôlement bien et léger.
Qu’est-ce qui aurait pu gâcher cette journée ? Et oui… Le retour de l’inconnu avec cette veste maudite. Cette fois, il avait vu noir. La crainte de le perdre à nouveau avait pris place dans le ventre de Kayden qui avait bondi sur l’homme afin d’en savoir plus sur son employeur. Mais qui a envie de répondre à un homme qui se montre directement agressif ? Personne. À quoi avait-il pensé ? Ça avait été là son problème. Il n’avait pas réfléchi. Il s’était laissé submergé par ses émotions négatives. Cet homme l’avait poussé à bout et sans l’intervention d’Amber, le poing de Kay’ aurait fini dans sa figure. Kayden avait été contraint de le laisser partir et il s’était effondré quelques mètres plus loin. Il n’avait pas bougé du sol. La nuit étant tombée, il avait bien l’intention d’essayer de dormir à cet endroit. Amber en boule sur son ventre et Diyoza contre son bras. Kayden n’eut pas le temps d’essayer de trouver le sommeil qu’il put entendre des pas qui approchaient de sa direction. Le soigneur se redressa sur ses coudes. Il pinça les lèvres et il dit : « C’est moi que vous cherchez. » Grâce à la lueur des arbres, il avait réussi à désigner l’uniforme de policier de l’homme qui approchait. Il était sûrement insensé de le retrouver exactement à l’endroit où il avait commis son agression. N’importe qui d’autre aurait eu largement le temps de fuir avant que la police n’arrive. Pas Kayden. Kayden avait culpabilisé dès l’instant où son poing avait fendu l’air. S’il devait être puni, il allait accepter les conséquences de ses actes. En espérant seulement que ça n’allait pas porter préjudices aux recherches qu’il faisait pour Calliope. Maintenant, il restait à savoir jusqu’à quel point la vérité avait été déformée par l’inconnu. Était-il resté sur les faits et il avait parlé que Kayden l’avait plaqué contre un arbre en le tenant par le col et qu’il avait tenté de le frapper ? Ou bien, il aurait tout déformé pour faire passer l’homme pour pire qu’il était ? Le flic allait sûrement lui dire. Le soigneur leva les mains en signe d’innocence et il se remit sur pieds pour faire face au policier. Il avait déjà sa Trainer Card entre les doigts. Il savait ce qui l’attendait.
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Mar 25 Aoû - 9:23
Ca avait commencé comme une journée pour le moins mouvementée. Tu revenais à peine d'un congé que tu avais pris dans l'espoir de pouvoir attraper un Malosse, et tu avais repris le boulot relativement tôt, le matin même. La première heure, il ne s'était rien passé. A la suivante, une vieille dame était entrée dans le Poste de Police … c'était encore la vieille dame au Skitty, et en te voyant, elle s'était immédiatement dirigée vers toi, pour te demander, expressément, de retourner chercher son « bébé » qu'elle pensait cette fois carrément en danger. Du coup, tu avais dû prendre sur toi de lui expliquer que tu ne pouvais vraiment pas repartir à la chasse au matou aujourd'hui, que tu avais du boulot - et c'était vrai, malheureusement, les rapports de Police ne s'écrivaient pas encore tous seuls - et que tu ne pouvais vraiment pas être celui allait chercher son Pokémon à travers la pampa. Elle avait semblé … contrariée. Durant quelques secondes, elle était resté plantée devant toi, si bien que tu avais pensé qu'elle allait insister. Puis. Elle s'était détournée, pour attraper le bras d'une de tes collègues, et c'est auprès d'elle qu'elle s'était mise à insister.
Au final, tu avais eu la possibilité de rattraper ton retard, et c'est en cela qu'elle avait été mouvementée. Ridiculement mouvementée, oui. Pour résumer, tu avais réussi à te perdre entre des pannes informatiques et des soucis d'impression. La technologie, hein, Ethan. Tu avais maudit ça durant des heures, avant, d'enfin, réussir à aller déposer, sans délicatesse, tes dossiers sur le bureau de ton Supérieur. C'est ce moment précis que ce dernier avait choisi pour te désigner comme étant celui qui allait prendre la déposition d'un type qui attendait depuis déjà une bonne demi-heure et qui semblait grandement s'impatienter. Une fois face à toi, devant ton bureau, il avait d'ailleurs émis une remarque quand au fait que le coupable de son agression avait probablement eu le temps de faire trois fois le tour de Lathea, et toi, tu avais simplement levé les yeux au ciel en lui demandant pourquoi il était là, exactement. S'en était suivi un long discours, durant lequel il avait demandé à porter plainte, parce qu'un type - un vrai sauvage avait-il précisé - s'était complètement jeté sur lui pour tenter de lui voler ses affaires, et qu'il avait probablement eu de la chance de s'en sortir sans égratignure, il avait tout de même parlé d'une douleur dans un poignet et tu lui avais conseillé d'aller voir un médecin. Ensuite, tu lui avais assurer que tu allais personnellement t'occuper de tout ça. Autant dire mon vieux que ton instinct t'avais hurlé qu'un truc clochait pendant tout le long de cette entrevue, et que c'est bien pour ça que tu étais décidé à te bouger pour aller vérifier, toi-même, de quoi il pouvait bien retourner.
Tu avais cherché, fouiné un bon moment. Le type t'avais dis que tout s'était passé à la Lumiclairière, tu avais donc pas mal fouiller autour avant de te décider à aller y jeter un oeil, pour de vrai. Forcément, tu n'allais rien y trouver. Du moins … c'est ce que tu t'étais imaginé, en passant la cascade, parce qu'une fois au milieu, voilà qu'une voix résonne, et quand tes yeux se posent sur le bonhomme, tu as l'air … surpris, oui. Franchement, Ethan, tu as pas mal d'années de service, de carrière, maintenant. Quel genre de coupable reste sur les lieux de sa connerie ? Le pire, c'est qu'il a déjà les mains en l'air, tu vois, et sa T-Card entre les doigts. Du coup, tu soupires. « C'est un criminel que je cherche. Vous êtes un criminel ? » Tu demandes, en faisant deux pas en avant pour venir attraper la T-Card, la parcourir, et relever le nez. « Kayden Weaver. Vous êtes celui qui s'est jeté sur un autre type pour lui dérober ses effets ? » C'est, du moins, ce que racontes le témoignage de la "victime". « Ce n'est pas très malin d'être resté ici, vous ne pensez pas ? » Et clairement, ça te confortes encore dans ton idée première : quelque chose cloche dans cette histoire. « Vous êtes conscient que si cet homme a dit la vérité, je vais être dans l'obligation de vous arrêter ? » En fait, tu aurais déjà dû le faire, mais, comme bien trop souvent, tu préfères te fier a ton instinct en premier.
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Mar 25 Aoû - 9:23
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Dim 30 Aoû - 16:54
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Kayden aurait eu largement le temps de prendre la fuite et il venait presqu’à regretter de ne pas l’avoir fait. Un policier aurait perdu un peu de son temps, mais ça aurait été plus simple pour tout le monde non ? Enfin… Non. Ça aurait été plus simple pour Kayden seulement qui était un homme beaucoup trop honnête pour seulement prendre la fuite comme s’il n’avait rien fait. Sa réaction lui avait fait peur. Ce n’était pas dans sa nature et c’était à se demander de quelle manière il pourrait réagir devant ceux qui avaient fait du mal à sa fille. « Tout dépend des points de vue je suppose. » fut la première réponse du quinquagénaire lorsque le policier lui demanda s’il était un criminel. Si ce n’était pas de son regard trop doux, il pourrait avoir la tête de l’emploi. Longue barbe, cheveux négligés, vêtements sales. Quoi qu’on pourrait surtout le confondre avec un itinérant. Itinérant qui préférait passer une nuit entre les barreaux plutôt qu’à l’extérieur ? Dans une autre vie peut-être, aujourd’hui, Kayden dormait dehors par choix. Il avait les moyens de se payer des auberges à gauche et à droite. Il le faisait de temps en temps, mais d’autres fois, il voulait seulement rester dans les zones paisibles qu’il visitait.
Kayden laissa le policer attraper sa carte et il s’attendait déjà à une remarque sur son nom de famille. Remarque qui ne vint pas ce qui lui fit hausser un sourcil. Les quelques rares personnes qui avaient su son nom complet n’avait pas pu s’empêcher de lui faire remarquer à quel point sa famille était dérangée. Comme si Kay’ avait eu besoin de ces personnes pour le remarquer. Il n’avait pas pris la fuite dès sa majorité sans raison. Tant pis si on ne s’attardait pas sur la personne qu’il était, mais sur les actions qu’il avait commis. C’est un rire nerveux qui s’échappa des lèvres du brun lorsque le policier lui parlait d’avoir dérobé les effets d’un autre type. Négativement il secoua la tête, mais il n’ajouta rien. Il préféra laisser le policier continuer. Ce n’était pas très malin d’être resté. Ça, il le savait, mais c’était du Kayden tout craché. Il assumait beaucoup trop ses actes. « J’en suis conscient. » L’idée de se faire arrêter n’avait rien de rassurant pour le quinquagénaire qui sentait son rythme cardiaque s’accélérer dans sa poitrine. C’était sérieux maintenant. Il était resté sur les lieux de son crime et il allait devoir en payer les conséquences. « Ça va sûrement vous paraître étrange, mais je ne souhaitais pas dérober ses affaires. » Étrange dans le sens où le soigneur avait l’air d’un homme pauvre qui aurait pu être tenté de voler pour subvenir à ses besoins. « Je souhaitais en connaître davantage sur son… employeur. » Le dire à voix haute à quelqu’un qui n’avait aucune idée de ce qui se passait était encore pire. Il allait passer pour quoi ? … Mon dieu. Il espérait qu’il n’y aurait pas de traces dans le système et surtout que l’information n’allait pas se rendre jusqu’à sa jumelle. Tout ça était surréaliste. « Je ne m’y suis pas pris de la bonne manière. Je suis navré d’avoir effrayé cet homme et que la situation ait été mal interprétée. Je suis tout sauf un voleur. » Maintenant c’était sa parole contre celle de l’étranger qui l’avait dénoncé. Est-ce que le policier allait au moins laisser bénéfice du doute au quinquagénaire ou son apparence physique négligée allait jouer contre lui ?
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Ven 4 Sep - 15:50
Honnêtement, Ethan, de ta carrière, tu n’as probablement jamais vu quelque chose comme ça. On revient toujours sur les lieux d’une agression, parce que, c’est la procédure, tu étais censé inspecter les lieux, peut-être pour y trouver des indices, voir y recueillir un potentiel témoignage mais pour être honnête, tu n’es pas venu ici avec de grands espoirs. En fait, tu comptais probablement faire l’aller-retour, y venir, faire des vérifications, et puis repartir. Tu avais de gros doutes. Comme souvent, c’était une intuition de ta part, ce n’était donc pas quelque chose sur laquelle tu pouvais t’appuyer pour de bon puisque dans la Police, on fonctionnait avec des preuves. De vraies preuves tangibles, visibles. Le fait que ce plaignant ne t’inspire aucune confiance, ce n’était que du vent pour l’enquête ouverte, et pour toi, ce n’était qu’un prétexte pour fouiner.
Mais voilà, quand tu arrives dans la Lumiclairière, il y a cet homme. Il s’adresse à toi de lui-même sans même t’avoir laissé le temps de faire ou de dire que ce soit. Il se dénonce, alors qu’en soit, il aurait pu s’éloigner en te voyant, tenter de se cacher, même. Ou mieux, Ethan, il aurait pu ne pas rester ici. Tu récupères sa carte de dresseur sans difficulté, tu y lis son identité, à haute voix, tout en l’observant du coin de l’œil comme si tu allais pouvoir deviner quelque chose d’important de cette manière. Finalement, tu prends le risque de lui dire la vérité, ce qu’il risque maintenant, si l’homme qui est venu jusqu’à toi dit la vérité à son sujet. Tu vas devoir l’arrêter, Ethan, lui passer les menottes. En vérité, tu aurais surement déjà dû le faire, mais la surprise de le voir se vendre si facilement et de lui-même t’en a empêché. Maintenant, tu retardes simplement le moment, et pendant ce temps, tu essaies de comprendre ce qui peut bien t’échapper.
Et pour ça, tu ne fais rien de plus que l’écouter, Ethan. A l’entendre, il n’a jamais tenté de voler quoi que ce soit à l’homme qui a déposé plainte, par contre, quand il se met à parler de son employeur, il recommence à te perdre. « Son employeur ? Pour quelle raison ? » Tu plisses les yeux, tu poses un regard des plus suspicieux sur lui, subitement, et alors qu’il semble formuler ce qui pourrait ressembler à des excuses – et c’en est probablement – tu viens croiser les bras sur ton torse, avant de soupirer. « Bon, écoutez, vous allez me raconter exactement ce qui s’est passé. Vous l’avez agressé ? Frappé ? » parce que, de ton côté, c’est bel et bien ce qui figure sur le rapport de plainte. L’homme s’est même plaint de douleurs au poignet, devant toi, et si tu ne l’as pas cru plus que ça, ou si tu as pensé qu’il en faisait trop, encore une fois, ce n’est pas à toi d’en juger. « Son employeur, c’est qui ? Qu’est-ce que vous vouliez savoir ? Et pourquoi ? Et vous conseille d’être honnête. » Parce que bon, tu as probablement déjà eu bien assez de mensonge de l’autre côté.
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Ven 4 Sep - 15:50
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Dim 20 Sep - 1:40
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Kayden était en train de se tirer dans le pied, il en était conscient. Il s’en voulait d’avoir eu un acquit de conscience qui l’avait empêché de quitter les lieux de son crime. Enfin… Est-ce qu’on pouvait réellement considérer ce qu’il avait fait comme un crime ? Il avait la sensation que c’était un très gros mot pour la gravité de ses actes. Au final, il avait seulement agrippé quelqu’un par le col pour le plaquer contre un arbre. Sauf qu’il avait l’impression que l’homme avait empirer les choses et ça devenait sa parole contre la sienne. Sauf si ses Pokémons pouvaient être considérés comme des témoins. Kayden ne cacha pas son exaspération lorsqu’il sut que l’homme avait dit au policier que le quinquagénaire avait tenté de le voler. Si ça avait pu être aussi simple… Il aurait pu dire au flic qu’il avait tenté de lui dérober quelque chose plutôt que de confier qu’il l’avait questionné sur son employeur. C’était complètement stupide comme raison. Sauf que Kayden ne voulait pas que la police mette le nez dans son histoire… Si l’homme réclamait l’aide de quelqu’un, il irait voir directement sa sœur… Mais pour l’instant, il était trop tôt.
Bien sûr Kayden… Qu’est-ce qu’il espérait ? Que le policier allait seulement hocher la tête et qu’il allait partir ? Mais non… Ce dernier devait poser des questions. C’était essentiel. Comment pouvait-il contourner la question sans mentir ? Kayden savait mentir, mais il ne voulait pas ça. Il avait l’impression que le policier lui donnait sa chance. Le soigneur ne devait pas la louper. Il devait être honnête tout en gardant ses secrets. « J’ai seulement besoin de retrouver cet employeur… » C’était plus qu’un besoin, c’était une nécessité à sa vie. Kayden ne savait pas encore ce qu’il allait faire s’il arrivait à avoir l’information qu’il souhaitait. Il ne pouvait pas débarquer devant l’entrepôt, frapper à la porte et exiger Callie. Ça ne fonctionnait pas de cette manière. « Je n’ai pas frappé cet homme. » répondit l’homme en regardant les jointures de ses mains qui n’avaient aucune blessure. Heureusement qu’il ne s’était pas défoulé contre un arbre, ça aurait pu jouer contre lui. « Je l’ai attrapé par le col et je l’ai plaqué contre un arbre. Rien de plus. » Ça lui faisait étrange de confier cela et pourtant c’était l’unique vérité. Une vérité qui ne lui ressemblait tellement pas. « Je ne sais pas qui est son employeur, c’est ce que je voulais découvrir. Ils ont… Ils ont quelque chose qui m’appartient et… Je l’ai perdu de toute manière. » Il soupira bruyamment et il laissa retomber ses bras le longs de son corps. Il ne savait pas ce qui pouvait ajouter de plus sur la question. « Écoutez, je suis vraiment désolé pour le dérangement, pour la perte de temps et pour tout ça… Vous avez sûrement mieux à faire. Je m’y suis mal pris, j’en ai conscience, mais je ne souhaitais faire du mal à personne. » Il ne pouvait pas être plus honnête. Il était une personne douce. Un petit peu moralisateur, mais jamais avec des mauvaises intentions. « Entre vous et moi… Qu’est-ce que je risque ? » Est-ce qu’il était prêt à se faire arrêter pour conserver son petit secret ? Est-ce qu’il allait devoir utiliser sa dernière carte pour qu’on le laisse ? Il ne voulait pas ça, mais si ça se passait mal pour lui, il allait demander à ce que sa jumelle, la commissaire, soit contactée.
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